DÉFILÉ DES ASSIGNÉS À RÉSISTANCE

La liste des plans de licenciements s’allonge chaque jour, y compris dans les entreprises qui ont perçu des milliards d’euros d’aides publiques.

Ces gens là n’aiment pas, ils comptent !

On apprend par exemple que Bernard Arnault est devenu en 2020 l’homme le plus riche du monde avec un patrimoine de 103 milliards d’euros...

En face, les derniers de corvée comptent aussi mais pour savoir comment ils vont survivre sans parler de vivre. De la peine qui s’ajoute à la peine.

Et c’est à eux pourtant que le pouvoir présente l’addition
de la crise sanitaire !

Il n’y a rien à attendre de ces gens là, de ce monde là, celui du CAC 40, celui des destructeurs des conquêtes sociales, celui qui nous conduira inexorablement, si on le laisse faire, dans un abîme social, démocratique et environnemental.

Chacun analysera les résultats des élections municipales comme il l’entend, mais ce qui est certain, c’est qu’il serait illusoire d’espérer que des bulletins de vote les arrêtent.

Aujourd’hui, comme hier par exemple avec les congés payés, nous n’obtiendrons que ce que nous arracherons sur le terrain syndical et social.

Et nous le ferons en soudant tous les secteurs du privé comme du public dans l’unité la plus large possible.

Nous avons porté cette orientation les 16 et 30 juin avec nos camarades de l’hôpital et du médico-social, nous l’avons porté lors de nos rassemblements interprofessionnels des 12 et 25 juin.

Nous le porterons encore le 14 juillet prochain
dans les rues de Rennes.

Comme le chantait Georges Moustaki déclarons "l’état de bonheur permanent et le droit de chacun à tous les privilèges. Je dis que la souffrance est chose sacrilège quand il y a pour tous des roses et du pain blanc".
 

Résister, Revendiquer, Reconquérir
reste plus que jamais notre fil à plomb.
 

RDV 13h. place de la République
 

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