On assiste depuis le début du mouvement pour le retrait du projet Delevoye-Macron au bal des hypocrites :

Les mensonges, falsifications, simulations du gouvernement pour faire croire à grand renfort médiatique que leur retraite des morts était une « avancée ».

Les vautours de la finance et des fonds de pension tels BlackRock qui salivent déjà sur les centaines de milliards qu’ils pourraient récupérer et qui reçoivent des décorations du gouvernement pour « leur action pour le pays »...

Les Berger (CFDT) et Escure (UNSA) qui nous font le coup de : on a gagné sur l’âge « pipeau ».

Mauvaise pièce de théâtre qui masque mal leur complicité. Triste mascarade du pouvoir économique et politique et de ses subsidiaires.

Mais en face des salariés du privé et du public, des retraités, des étudiants se battent dans l’unité pour bloquer ces assassins des « jours heureux » et arracher le retrait du projet de loi qui n’est ni amendable ni négociable.

Les uns sont une insulte à ce qu’ont construit nos anciens et une menace grave pour notre présent et pour l’avenir de nos enfants. Les autres construisent l’espoir de justice sociale et de reconquêtes.

Indéfectiblement, FO est et sera toujours aux cotés des « derniers de corvée » et dans le camp de la résistance.

La faiblesse des touts puissants c’est leur arrogance.
Notre force, c’est la clarté, la détermination, l’unité et la ténacité !
Nous gardons l’optimisme de la volonté.
Le meilleur reste à venir et le plus tôt sera le mieux.

" QUE VIVE LA SOCIALE !
VIVE LA CGT FORCE-OUVRIÈRE ! "

Rennes, le 20 janvier 2020, Fabrice LERESTIF, Secrétaire Général

Edito à retrouver dans l'Interpro n°210 du mois de janvier 2020